Toxic Story-Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins
Depuis quelques années, une défiance croissante envers les vaccins gagne la population. Graves effets secondaires, adjuvants aluminiques
toxiques. Des rumeurs alarmantes circulent. À tel point que la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a lancé une conférence nationale pour
restaurer la confiance, dont les conclusions seront divulguées en cette fin d'année. C'est pourtant le silence des autorités politiques et
sanitaires sur la toxicité de certains composants qui a eu pour effets d'alimenter les doutes et de créer des polémiques. Soucieux de casser ce
cercle vicieux et délétère, le Pr Romain Gherardi lève le voile sur ces obscurs adjuvants, présents dans la composition de nombreux vaccins, et
auxquels il a consacré vingt années de sa vie. Son credo : pour sauver la vaccination, il est temps de ne plus mentir.
Moto Revue - Novembre 2019
Moto Revue - Novembre 2019
French | 148 pages | True PDF | 102 MB
Le Revenu Placements - Décembre 2019
Le Revenu Placements - Décembre 2019
French | 100 pages | True PDF | 105 MB
Quand Rome inventait le populisme
Que n'a pas inventé la Rome antique ? Voici le tableau inédit et vivant des populismes qui ont déstabilisé la République. Une rétrospection
enjouée et éclairante par un agrégé de lettres classiques, âgé de 26 ans.
Il y a du Cicéron chez Emmanuel Macron, et du Clodius chez Donald Trump. C'est en historien de l'Antiquité que Raphaël Doan démontre que
nous n'avons pas inventé le populisme. Les Romains, à la fin de la République, connaissent une lutte à mort entre ce qu'ils appellent les
populares et les
optimates. Appel au peuple, goût des solutions radicales, recours à la figure de l'homme fort : ces tribuns en toges et en sandales ressemblent
trait pour trait à ceux du xxie siècle.
Dans cette époque, avec son sénat et sa plèbe, ses discours et ses émeutes, ses guerres et ses violences, tout est d'actualité. Y compris la
question essentielle : le populisme est-il le bouclier des humbles contre une élite sourde à ses revendications, ou le futur glaive des tyrans
contre la liberté ?
Un premier essai époustouflant, écrit avec une plume exemplaire.
La matière des arbres
Les arbres sont innombrables, marquant les paysages, arrivés d'eux-mêmes ou plantés, aussi bien dans les campagnes qu'en ville. Ils nous
environnent sans que nous parvenions toujours à les distinguer. Or, il y a beaucoup à apprendre de leurs variétés et de leurs nuances. Ils nous
enseignent qu'il n'y a jamais de fin à ce que l'on peut voir en se disposant à regarder une racine qui devient un tronc fait de branches et de
rameaux. Eryck de Rubercy les connaît bien. Il a presque toujours vécu à côté d'eux dans l'activité de sauvegarde d'un parc paysager. Cette
proximité avec La Matière des arbres lui permet d'en parler avec la complicité de grands écrivains. Témoin sensible de leur vie, son essai initie
le lecteur à ce qui fait, au rythme des saisons et suivant les essences, leur spécificité botanique : « cette force sourde et mystérieuse qui est en
eux et les tient debout ». Sa dilection intime pour les arbres le fait être aussi le fin descripteur du parc d'agrément au sein duquel il les côtoie
chaque jour : la plus belle connaissance des arbres étant celle de vivre dans leur proximité.